Mon besoin de DIRE me dépasse, il est plus grand que moi. Il inclut toutes les femmes. NOUS TOUTES.
Spectacles seule-en-scène
Conférence spectacle et lecture théâtralisée
Mon besoin de dire prend naissance dans mon histoire personnelle et dans mon cheminement politique.
Dire pour me libérer et m’affirmer. Dire pour porter une parole collective. Dire pour faire bouger les lignes.
Dire pour que les femmes et leur sexualité ne soient plus silenciées.
Dans mon cheminement à la fois personnel et politique, je finis par comprendre que mon besoin de DIRE me dépasse, qu’il est plus grand que moi. Il inclut toutes les femmes. NOUS TOUTES. Celles qui ne savent pas, celles qui doutent, celles qui n’osent pas, mais aussi celles qui ont été ou sont empêchées de dire ou de jouir, réprimées, mutilées, assassinées. Alors aujourd’hui, je le dis : « Je jouis, je coule, je jaillis. Je suis mi-femme mi-déesse. Je suis une sirène ! »
Extrait de la conférence-performance
SOUVENT FEMME JAILLIT, plaidoyer pour la puissance féminine.
SOUVENT FEMME
JAILLIT
plaidoyer pour la puissance féminine
Conférence-spectacle. À partir de 15 ans.
Dates : Samedi 8 février à 20h30 – Gradignan .
15€. Résa : 06 52 68 18 40
Texte – mise en scène – interprétation : Valérie Duchaillut. Assistance à la création : Isabelle Vauquois . Direction d’actrice : Camille Charriaud. Et la collobaration de plus d’une vingtaine de femmes
Description de la conférence spectacle Souvent femme jaillit
Partant du postulat que l’intime est politique, à partir de mon expérience de la jouissance fontaine et de connaissances anatomiques, anthropologiques ou artistiques et de quelques fantaisies, je déploie dans cette performance une analyse politique et poétique sur la jouissance féminine.
Entre conférence scientifique et stand-up, un spectacle engagé, drôle et émouvant. Un propos poétique et diablement instructif qui lève le tabou sans être jamais impudique. Une ode à la liberté d’être.
Qu’est ce que la jouissance fontaine ? Certes on en entend de plus en plus parler par le squirt mais de quoi s’agit-il en fait ? Que se passe t’il dans le corps de la femme ? Que ressent-elle ? Qu’est ce qui le déclenche ? Et le squirt/éjaculation féminine ne cacherait-il pas des nuances bien plus subtiles et des mondes à découvrir ? Ne faudrait-il pas inventer un vocabulaire plus précis et moins sexiste que femme fontaine ou éjaculation féminine ? Mon spectacle répond à toutes ces questions et permet de faire quelques révisions sur l’anatomie, les fluides féminins et des tas d’autres trucs !
Le besoin de dire
C’est à partir de mon histoire qu’est née cette performance quand, à la quarantaine, je découvre mes jaillissements. Sujet tabou, victime de censure comme le clitoris ou le point G, je plaide pour la réintroduction de cet aspect de la sexualité féminine dans l’imaginaire collectif et pour une sexualité féminine joyeuse et décomplexée.
Qui parle ?
Tour à tour la petite fille intérieure, vêtue du ciré jaune des navigations en haute mer de son enfance, personnage sensible et poétique, la conférencière perchée sur ses talons aiguilles qui s’enflamme pour son sujet recelant encore bien des mystères, la militante aux pieds nus qui porte un combat de joie pour une sexualité féminine libre et heureuse.
Label national Egalité femmes-hommes
Souvent femme jaillit bénéficie du label nationale Egalité femmes-hommes et citoyenneté en actions – EFHCA attribué, après évaluation, par la Ligue de l’enseignement.
« En utilisant le format de la conférence spectaculaire, elle évoque avec humour, références scientifiques et intelligence, le tabou entourant l’orgasme féminin. Elle explore la manière dont la société a censuré la sexualité des femmes, replaçant le débat dans un contexte historique, anthropologique, littéraire et médiatique. Le langage devenant un outil de résistance, elle entame une déconstruction théorique de termes sexistes comme « femme fontaine » et « éjaculation féminine ».
Ce spectacle a reçu des retours positifs et un accueil très enthousiaste par ses différents publics : en termes de transmission de connaissances théoriques et documentées sur la sexualité et la jouissance féminines, de possibilité à s’autoriser à se (re)connecter à son soi intérieur et son énergie sexuelle, de réflexions à la fois intimes et collectives sur ces sujets autour desquels la parole des femmes a bien souvent été discréditée ou bridée. »
Lutte contre les discriminations / promotion d’une culture de l’égalité / Lutte contre les stéréotypes sexistes.
En savoir plus sur la labellisation
> Je propose également des Cercles de femmes « jouissance fontaine : de quoi parle-t-on? »
« Flanquée d’un ciré jaune, Valérie débarque sur scène, pétillante. De ses souvenirs d’enfance au bord de la mer à son expérience de femme jaillissante, elle déroule sa démonstration, schémas à l’appui, avec pédagogie et humour. Elle nous fait rire et nous émeut. Un témoignage vibrant et joyeux sur la puissance sexuelle des femmes. »
Voir la conférence-performance de Valérie Duchaillut, c’est remettre les choses en lumière, en conscience. Il y a de la connaissance, du savoir mais surtout la dynamique de Valérie. Son énergie nous emmène à vivre la joie et des moments de lutte ! Lutte arrivée à un point de maturité. Toujours intense, décidée, déterminée, mais guidée par la sagesse de la non-colère agressive, Valérie fait partie de ces Femmes Éclaireuses qui réveillent ce qui dort quelque part, en nous. »
« Merci Valérie. J’ai adoré ta conférence, elle m’a vraiment émue et appris des choses. Merci pour toutes les femmes et s’il te plaît continue à DireDireDire.. »
Diffusion de Souvent femme jaillit
Spectacle créé en mars 2020 et joué 23 fois.
Festivals : Debout les femmes (Corrèze), WOW (Marché des Douves – Bordeaux), Lovestival (Ariège), Yoniversel (Ardèche), Les saveurs des sciences (Théâtre Le levain, Bègles).
Cafés associatifs et Tiers-lieux : Le radis noir (Bègles), Le splendid (Langoiran), Le zig-zag café (Bordeaux),
Médiathèque de Mérignac (Semaine consacrée à Simone Veil).
A domicile, chez l’habitant : métropole bordelaise et tournée en France été 2022 (Charente, Ariège, Nantes, Loire et Cher, Lyon, Grenoble, Marseille, Alpes de Haute-Provence, Ardèche)
Partenariat avec Rue89 Bordeaux (février 2021) : diffusion en direct sur sa page Facebook. Partenariat avec l’Université populaire de Bordeaux en mars 2022 (Marché des Douves – Bordeaux).
Presse
Rue89 Bordeaux : https://rue89bordeaux.com/2021/02/souvent-femme- jaillit-la-fable-de-la- fontaine-valerie-duchaillut/
Galerie photos
« Merci à cette militante courageuse. Longue vie à son spectacle qui aide à la prise de conscience de la place de la femme initiatrice et de la puissance énergétique du corps féminin.. »
CHEMISE(S) D’HOMME
Dire la féminité, toute la féminité
Lecture théâtralisée. À partir de 15 ans.
Durée : 1h20
Tarif : me contacter
Texte et interprétation : Valérie Duchaillut
Assistance à la création : Isabelle Vauquois
Mise en scène : Valérie Duchaillut et Anne- Laure Boyer
Vidéo : Anne-Laure Boyer
Création du patchwork : Valérie Duchaillut et Carole Coache avec la participation de plus de 25 personnes à la couture (ateliers participatifs)
Matériel : 60 chemises d’hommes
Description de la lecture théâtralisée Chemise(s) d’homme
Donner à entendre la féminité, toute la féminité, avec ses exubérances, ses bonheurs, ses douleurs, ses doutes et ses blessures. Seule en scène, l’autrice nous livre ses souvenirs à la fois intimes et universels, instantanés de dix ans de vie amoureuse parfois douce et parfois chaotique. Une suite de moments drôles ou émouvants, patchwork d’une vie de femme en perpétuel devenir.
Un partage sans fausse pudeur autour de la sexualité féminine et d’un de ses aspects encore tabou : celui de la femme fontaine.
C’est par le biais du souvenir amoureux, avec son lot de souffrance, de rire, d’absurde, de romanesque et d’extase aussi, que se compose, par petites touches, comme un patchwork, le portrait de cette femme, de sa sexualité et de sa relation à soi. « Je me souviens, il… » porte d’entrée d’une introspection par résonance, sans suite chronologique. Le IL comme miroir. Parfois très courts, une phrase seulement, parfois plus longs, plusieurs pages, ces souvenirs finissent par former récit. Récit d’un paysage intérieur à la cohérence retrouvée.
Assise dans un fauteuil de velours rouge, Valérie Duchaillut lit ses souvenirs, comme une plongée dans son journal intime. Au sol, un patchwork de 500 morceaux de chemises d’homme délimite l’espace de la confidence. En arrière-plan, un rideau flotte au vent, fenêtre ouverte sur la rêverie et les paysages intérieurs. On y découvre Valérie qui bouge, danse, joue avec les chemises. Comme autant de peaux qu’elle enfile ou retire. Chemises découpées en morceaux, morceaux cousus entre eux. Mains qui cousent, fils qui relient vers une unité retrouvée.
« L’audace et l’écriture, joliment cul et chemise.. »
Diffusion
Spectacle créé en septembre 2017 au Théâtre le Cerisier (Bordeaux) et joué une vingtaine de fois
- Semaine des Droits de femmes organisée par la ville de Bordeaux (Mars 2018),
- Théâtre Le Cerisier et Théâtre La Rousselle (Bordeaux),
- A domicile – chez l’habitant (Bordeaux Métropole),
- Atelier d’artiste (Emmanuel Aragon, Bordeaux),
- Saison culturelle de la ville de Cenon (2020),
- Tournée estivale juillet-août 2019 (Clermont-Ferrand, Lyon, Forcalquier (04), Toulouse).
Presse
Article : Chemise(s) d’homme (Sud Ouest) https://www.sudouest.fr/gironde/cenon/cenon-33-les-hommes-de-valerie-leurs-chemises-ses- imprimes-2574747.php
> Teaser de la vidéo d’Anne-Laure Boyer projetée pendant le spectacle.
Réalisatrice : Anne-Laure Boyer