Mon besoin de DIRE me dépasse, il est plus grand que moi. Il inclut toutes les femmes. NOUS TOUTES.

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Spectacles seule-en-scène

Conférence spectaculaire et lecture théâtralisée

Mon besoin de dire prend naissance dans mon histoire personnelle et dans mon cheminement politique.

Dire pour me libérer et m’affirmer. Dire pour porter une parole collective. Dire pour faire bouger les lignes.

Dire pour que les femmes et leur sexualité ne soient plus silenciées.

Dans mon cheminement à la fois personnel et politique, je finis par comprendre que mon besoin de DIRE me dépasse, qu’il est plus grand que moi. Il inclut toutes les femmes. NOUS TOUTES. Celles qui ne savent pas, celles qui doutent, celles qui n’osent pas, mais aussi celles qui ont été ou sont empêchées de dire ou de jouir, réprimées, mutilées, assassinées. Alors aujourd’hui, je le dis : « Je jouis, je coule, je jaillis. Je suis mi-femme mi-déesse. Je suis une sirène ! »

Extrait de la conférence-performance
SOUVENT FEMME JAILLIT, plaidoyer pour la puissance féminine.

SOUVENT FEMME
JAILLIT
plaidoyer pour la puissance féminine

Conférence-performance. À partir de 15 ans.

Date : vendredi 8 mars à 20h30 (dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes)
Tarif : 13€ – réduit : 10 € – carte jeunes : 8€
Lieu : Théâtre le Levain – Bègles
Résa :

Texte – mise en scène – interprétation : Valérie Duchaillut.

Assistance à la création : Isabelle Vauquois et le plus d’une vingtaine de femmes (ateliers d’écriture, répétitions ouvertes, cercles de parole féminins…).

Description de la conférence-performance Souvent femme jaillit

Partant du postulat que l’intime est politique, à partir de mon expérience de la jouissance fontaine et de connaissances anatomiques, anthropologiques ou artistiques et de quelques fantaisies, je déploie dans cette performance une analyse politique et poétique sur la jouissance féminine.

Entre conférence scientifique et stand-up, un spectacle engagé, drôle et émouvant. Un propos poétique et diablement instructif qui lève le tabou sans être jamais impudique.

Le besoin de dire

C’est à partir de mon histoire qu’est née cette performance quand, à la quarantaine, je découvre mes jaillissements. Sujet tabou, victime de censure comme le clitoris ou le point G, je plaide pour la réintroduction de cet aspect de la sexualité féminine dans l’imaginaire collectif et pour une sexualité féminine joyeuse et décomplexée.

Qui parle ?

Tour à tour la petite fille intérieure, vêtue du ciré jaune des navigations en haute mer de son enfance, personnage sensible et poétique, la conférencière perchée sur ses talons aiguilles qui s’enflamme pour son sujet recelant encore bien des mystères, la militante aux pieds nus qui porte un combat de joie pour une sexualité féminine libre et heureuse.

> Je propose également des Cercles de femmes « Orgasmes fontaines : de quoi parle-t’on? »

« Flanquée d’un ciré jaune, Valérie débarque sur scène, pétillante. De ses souvenirs d’enfance au bord de la mer à son expérience de femme jaillissante, elle déroule sa démonstration, schémas à l’appui, avec pédagogie et humour. Elle nous fait rire et nous émeut. Un témoignage vibrant et joyeux sur la puissance sexuelle des femmes. »

Marie-Hélène Robert. (Cenon, octobre 2020)

Voir la conférence-performance de Valérie Duchaillut, c’est remettre les choses en lumière, en conscience. Il y a de la connaissance, du savoir mais surtout la dynamique de Valérie. Son énergie nous emmène à vivre la joie et des moments de lutte ! Lutte arrivée à un point de maturité. Toujours intense, décidée, déterminée, mais guidée par la sagesse de la non-colère agressive, Valérie fait partie de ces Femmes Éclaireuses qui réveillent ce qui dort quelque part, en nous. »

Evelyne DO (Bègles, mars 2023)

« Merci Valérie. J’ai adoré ta conférence, elle m’a vraiment émue et appris des choses. Merci pour toutes les femmes et s’il te plaît continue à DireDireDire.. »

Myriam Bavin (Bègles, mars 2023)

Diffusion de Souvent femme jaillit

Spectacle créé en mars 2020 et joué 23 fois.

Festivals : Debout les femmes (Corrèze), WOW (Marché des Douves – Bordeaux), Lovestival (Ariège), Yoniversel (Ardèche), Les saveurs des sciences (Théâtre Le levain, Bègles).

Cafés associatifs et Tiers-lieux : Le radis noir (Bègles), Le splendid (Langoiran), Le zig-zag café (Bordeaux),
Médiathèque de Mérignac (Semaine consacrée à Simone Veil).

A domicile, chez l’habitant : métropole bordelaise et tournée en France été 2022 (Charente, Ariège, Nantes, Loire et Cher, Lyon, Grenoble, Marseille, Alpes de Haute-Provence, Ardèche)

Partenariat avec Rue89 Bordeaux (février 2021) : diffusion en direct sur sa page Facebook. Partenariat avec l’Université populaire de Bordeaux en mars 2022 (Marché des Douves – Bordeaux).

Presse

Rue89 Bordeaux :  https://rue89bordeaux.com/2021/02/souvent-femme- jaillit-la-fable-de-la- fontaine-valerie-duchaillut/

Galerie photos

 

« Merci à cette militante courageuse. Longue vie à son spectacle qui aide à la prise de conscience de la place de la femme initiatrice et de la puissance énergétique du corps féminin.. »

Liliane (Lyon, août 2023)

CHEMISE(S) D’HOMME
Dire la féminité, toute la féminité

Lecture théâtralisée. À partir de 15 ans.

Durée : 1h20
Tarif : me contacter
Texte et interprétation : Valérie Duchaillut
Assistance à la création : Isabelle Vauquois
Mise en scène : Valérie Duchaillut et Anne- Laure Boyer
Vidéo : Anne-Laure Boyer
Création du patchwork : Valérie Duchaillut et Carole Coache avec la participation de plus de 25 personnes à la couture (ateliers participatifs)
Matériel : 60 chemises d’hommes 

Description de la lecture théâtralisée Chemise(s) d’homme

Donner à entendre la féminité, toute la féminité, avec ses exubérances, ses bonheurs, ses douleurs, ses doutes et ses blessures. Seule en scène, l’autrice nous livre ses souvenirs à la fois intimes et universels, instantanés de dix ans de vie amoureuse parfois douce et parfois chaotique. Une suite de moments drôles ou émouvants, patchwork d’une vie de femme en perpétuel devenir.

Un partage sans fausse pudeur autour de la sexualité féminine et d’un de ses aspects encore tabou : celui de la femme fontaine.

C’est par le biais du souvenir amoureux, avec son lot de souffrance, de rire, d’absurde, de romanesque et d’extase aussi, que se compose, par petites touches, comme un patchwork, le portrait de cette femme, de sa sexualité et de sa relation à soi. « Je me souviens, il… » porte d’entrée d’une introspection par résonance, sans suite chronologique. Le IL comme miroir. Parfois très courts, une phrase seulement, parfois plus longs, plusieurs pages, ces souvenirs finissent par former récit. Récit d’un paysage intérieur à la cohérence retrouvée.

Assise dans un fauteuil de velours rouge, Valérie Duchaillut lit ses souvenirs, comme une plongée dans son journal intime. Au sol, un patchwork de 500 morceaux de chemises d’homme délimite l’espace de la confidence. En arrière-plan, un rideau flotte au vent, fenêtre ouverte sur la rêverie et les paysages intérieurs. On y découvre Valérie qui bouge, danse, joue avec les chemises. Comme autant de peaux qu’elle enfile ou retire. Chemises découpées en morceaux, morceaux cousus entre eux. Mains qui cousent, fils qui relient vers une unité retrouvée.

 

« L’audace et l’écriture, joliment cul et chemise.. »

Yannick Delneste, Sud-Ouest

Diffusion

Spectacle créé en septembre 2017 au Théâtre le Cerisier (Bordeaux) et joué une vingtaine de fois

  • Semaine des Droits de femmes organisée par la ville de Bordeaux (Mars 2018),
  • Théâtre Le Cerisier et Théâtre La Rousselle (Bordeaux),
  • A domicile – chez l’habitant (Bordeaux Métropole),
  • Atelier d’artiste (Emmanuel Aragon, Bordeaux),
  • Saison culturelle de la ville de Cenon (2020),
  • Tournée estivale juillet-août 2019 (Clermont-Ferrand, Lyon, Forcalquier (04), Toulouse).

Presse

Article : Chemise(s) d’homme (Sud Ouest) https://www.sudouest.fr/gironde/cenon/cenon-33-les-hommes-de-valerie-leurs-chemises-ses- imprimes-2574747.php

> Teaser de la vidéo d’Anne-Laure Boyer projetée pendant le spectacle.

 

Réalisatrice : Anne-Laure Boyer 

Galerie photos